1. |
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Welcome to the Rectum
« Tu retires tout, y compris le Tampax ! ... allez grouille-toi ! »
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2. |
Bite en Cage
03:40
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Elle aime les coups et veut du sang,
Crier, me supplier.
Dans la douleur, lentement,
(Elle) s'empale sur ses jouets, raides et lubrifiés.
Et sur mon lit elle s'offre, se cambre et vient gicler.
Dans la douleur son bout durcit, puis elle jouit.
Et sur mon lit elle crie, se gode et s'épanouit.
Puis dans son cul rougi, je me laisse couler.
De bleus, son corps est recouvert.
Dans ma salive, son visage s'éclaircit.
Les yeux révulsés de bonheur.
Strangulation. Pénétration.
Et sur mon lit elle s'offre, se cambre et vient gicler.
Dans la douleur son bout durcit, puis elle jouit.
Et sur mon lit elle crie, se gode et s'épanouit.
Puis dans son cul rougi, je me laisse couler.
« Tu vas souffrir avant de me sucer les couilles...
À genoux, enculée ! À genoux, sale chienne ! Ici !
Je vais te tronçonner la gueule moi, ouais.
En ce moment je parierais que tu t’imagines déjà que tu suces ma bite au rythme des coups de fouet de mes couilles sur ta gueule...
J’ai le gland qui va éclater là ! »
Dans la douleur, le plaisir est décuplé,
Bien que mon sexe soit mis sous clé.
C'est une diablesse, une enragée.
Je l'aime à en crever...
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3. |
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« — J’ai payé pour t’enculer sale pute, alors je t’encule !
— Ah oui vas-y défonce-la, putain, défonce-moi ! »
...
« Allez, saute sur ma bite là !
Allez, gagne ton fric salope ! »
Je t´aime d´un amour sincère.
S´envoyer en l´air.
Te prendre la main, t'embrasser,
Puis te prendre par derrière.
Par derrière !
Je fais des va-et-vient,
Quand agrippée aux draps,
Tu mords et suces tes doigts.
J´extrais ton jus.
De mots doux je te couvre,
De caresses, tendresse.
Laisse glisser mes doigts
Pour t´ouvrir les fesses.
Si belle je te salis.
Si vide, maintenant remplie.
Maintenant savoure.
Baisée sans détour.
« — Bon une petite pause là. Parce que là elle est en train de pleurer là. Montre ton visage ? Montre ton visage. Ça fait mal ?
— Non ça va... »
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4. |
Salace Palace
04:14
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« S’il vous plaît ? Mesdames, messieurs. Pardonnez-moi de vous déranger mais... ma femme et moi cherchons des partenaires pour partouzer. Est-ce qu’il y en a parmi vous que ça intéresse ? »
Dans ce repère de vils pervers,
Lieu de vice et de luxure.
Tout le monde repu de ce festin,
De débauche et de jeux malsains.
« S’il y en a qui aiment, ma femme fait très bien la roulette Pompadour. »
Les bonnes gens s'amusent et se partagent
Les joies de la chair, les âmes impures.
Madame jouit, mais souffre aussi.
Les Hommes impies, de vice, salis.
Décadence, dépravation !
Dans cet hôtel : mal-conduite et imperfection.
Échange de fluides et de passion,
Dans chaque anus, torrent d'actions.
Sous le regard du Dieu Bacchus,
Tout le monde se fait fourrer l'anus.
Apparence saine, dégoût profond,
Dans ce palace de corruption.
Corps dénudés, de cuir enlacés.
Tétons gonflés et scrotums fripés.
Dans un ultime cri, bientôt réunis.
Tout le monde repu de ce festin,
De débauche et de jeux malsains.
« — C’est possible de venir juste un quart d’heure ?
— Bien sûr... en un quart d’heure vous avez le temps de vous faire chevaucher une bonne dizaine de fois ! »
Tout le monde repu de ce festin,
De débauche et de jeux malsains.
« Alors donc nous serons une vingtaine... en comptant mes deux grandes filles et ma sœur. »
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5. |
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« — Comment on fait les bébés ?
— Eh bien nous avons besoin d’un homme, d’un homme, un autre homme et d’une femme. Le bâton rentre dans le trou, par derrière, et du coup c’est ça qui va créer le bébé ! »
Tumeur interne, vivante et grouillante,
Résultat d'une pratique d'antan.
Semence offerte, recouvre ton intérieur,
Tapisse tes parois, donne la vie.
Tente aussi la sodomie.
« Et tu peux le faire aussi avec plusieurs hommes, plusieurs femmes, comme tu le veux, comme tu le sens ! »
Dilaté, son orifice reçoit
Le nectar sacré et le boit.
Pâte visqueuse, coulante, collante,
Colorée, parfois odorante.
Le mystère désormais dévoilé,
Gonflez votre sexe et laissez-le couler.
Remplissez cela au moins quelque fois,
N'hésitez pas à y mettre les doigts.
Ainsi soit-il, bientôt il naîtra.
D'entre les chairs sa tête apparaîtra.
Dans la douleur, le miracle s'accomplira.
Du sang, des tripes décoreront les draps.
« Mais moi je veux faire l’amour ! Je veux faire l’amour ! »
« Des centaines de millions de spermatozoïdes partent à l’assaut, (défonce ma chatte !), c’est une fantastique course d’obstacles. »
« — T’as tout avalé ?
— Pas de gâchis ! »
Dans la douleur, le miracle s’accomplira.
Du sang, des tripes décoreront les draps.
« J’espère que j’ai répondu à ta question, et... voilà ! Si tu as d’autres questions, n’hésite pas, je peux y répondre. »
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6. |
Inturlute
00:49
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"... on sent une grande tension au niveau du sexe, les testicules remontent, mais ça c’est plutôt le signal que, ouh là là, l’éjaculation risque de s’enclencher ! Donc si on a encore envie de jouer, ça peut être intéressant à ce moment-là de ralentir le rythme, et d’aller investiguer vers autre chose."
« — Estelle, je l’ai trouvé !
— Trouvé quoi ?
— Ben le type voyons ! Celui du trio avec la penderie !
— Et il est jeune ?
— Oh, relativement, il est surtout beau mec, c’est tout à fait ton genre ! Je suis sûr qu’il te plaira... et question queue, c’est un cheval !
— Qu’est-ce que tu en sais ?
— C’est lui qui me l’a dit.
— Et tu l’as avalé ?
— Non. Mais ça tu le feras. »
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7. |
#pute
03:02
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« C’est pas ta mère qui est une célèbre pute ? »
Vulgaire bout de viande, tu vends ton cul.
Tu jouis, tu coules de la moule.
Pour de la thune, tu perds la tête,
Te fais prendre en levrette.
Enfonce-les ! Enfonce-les !
« Hello la team ! Comme tous les lundis, j’ai envie de me faire casser l’oignon ! »
Pour des vues tu t'enfiles tes gadgets.
Écarte tes jambes,
Et mets-en au moins sept.
Fourre-les dans le cul et pète.
C'est le moment de faire la fête.
Dans ta chambre, cachée et vidée,
Prépare-toi à tout nettoyer.
Ton sol, tes murs, tes draps,
Et la cyprine sur tes doigts.
Tu enfonces ton poing là où tu ne devrais pas.
Tes jouets souillés, dans la bouche, enfonce-les !
À t’en faire gerber !
Montre-nous tes pieds qu'on puisse éjaculer...
Sur toi !
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8. |
Ô Sultan Impuissant
02:53
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« Créons une ambiance. Une atmosphère érotique, stimulante. Il faut... il faut... parler beaucoup de sexe ! Il faut des anecdotes osées, licencieuses, des histoires libidineuses qui t’exciteront. Ayons recours... ayons recours aux experts ! »
Ô Sultan connais-tu l'histoire de Jasmine ?
Quand elle frotte sa lampe,
La plus humide des oasis.
Une féerie aquatique jaillit,
Et inonde la soie de ses draps.
Une fontaine magnifique
Où son altesse s'abreuvera.
Alibabette a une grotte magique,
Elle jeûne depuis un mois.
40 voleurs cupides, cette nuit
Elle les dégustera.
Ruisselante de leur écume,
Leurs bourses sont vides.
Alibabette a une grotte magique,
Son trésor est unique.
Ton vit reprend-il vie ?
Le minaret est-il droit ?
Inch'Allah, tu vas être dur
Comme le bois.
« Sa poitrine extraordinaire est plus connue que le Coran. »
Ô nuits d'Arabie,
Ô Sultan, dis-moi.
Ton vit reprend-il vie ?
Le minaret est-il droit ?
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9. |
Voie Lacteuse
03:33
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« Ravie de vous revoir, cher humain. Introduisez votre verge dans l’orifice prévu à cet effet. N’oubliez pas de lubrifier. »
Haut, très haut,
Tu tamponnes ton robot.
D'amour privé,
Mais la science peut t'aider.
Insère ta verge,
Remplis le réservoir,
Mais n'oublie pas de purger.
Tu sous-estimes ta bite.
Tu mets la pression,
Toi qui es en orbite,
Tu bourres pourtant un fion.
« Ho oui. Encore. »
Tous les signaux qui bipent,
Fais gaffe à l'explosion !
Perdu tout là-haut,
La solitude te pèse.
Qu'il est beau ce robot !
Vérifie ses niveaux,
Cette machine que tu baises
A besoin d'un mécano.
La tôle se tend, se plie,
T'as trop tapé dedans.
Court-circuit, surtension,
Semence.
Explosion !
« Navette Z.O.B 669, ici la Terre.
Nous détectons une charge séminale anormalement élevée dans votre machine sexuelle Vidax, le robot qui vide un max. Les réservoirs sont pleins ! Risque d'explosion de foutre intersidérale.
Répondez de toute urgence ! »
« Explosion imminente. »
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10. |
Pénétrarium
05:14
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« Votre nana, elle se laisse prendre par le cul ? Le trou du cul, ça vous aspire la queue à l’intérieur. C’est comme un trou qui suce. C’est facile ! Mais quand on baise quelqu’un par le cou, c’est exactement le contraire, parce que ça résiste. C’est très difficile. »
Serial séducteur,
Elles s'offrent toutes à lui.
Aucune résistance, inertes, elles restent,
Quand il soulève leurs habits.
Chaque jour, de nouvelles âmes à combler.
Chaque jour, de nouveaux corps à toucher.
Dans leur chair froide il s´abandonne.
Dans la chambre froide il se la donne.
Maître,
Pour lui tout est permis.
Tous ses désirs, toute la nuit.
Il ne les a jamais vues rire.
Il ne les fera jamais jouir.
À jamais dans le silence.
Victimes,
Ceci est leur dernière danse.
Leur chair bientôt décomposée.
Notre charmeur ne doit pas tarder.
Elles doivent être belles
Pour leurs funérailles,
Après qu´il ait baisé leurs entrailles.
Leur chair bientôt décomposée,
Notre charmeur ne doit pas tarder.
Sur leur visage, il pose son maquillage.
Il les aime à tout âge.
Artiste de la mort.
Comblé il s'endort.
Flirt avec la mort.
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Truie Bayonne, France
TRUIE est un duo (Éric Dorléans guitariste/producteur et Kaan Turkdamar bassiste/vocaliste) qui propose un mélange raffiné de death/grind teinté de black métal, sali par un chant guttural des plus profonds. Le tout saupoudré de samples drôles, explicites et graveleux tirés de films pour adultes. Le groupe développe des ambiances variées pour lesquelles il ne se fixe aucune limite. ... more
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